Souvenirs / Memories

J’ai un souvenir précis de cette photo prise au village de lourmarin dans le luberon …( sud de la France) c’était son village préféré… nous allions voir un concert de music indienne.. qu’elle repose en paix..

Adjali Said. Son mari (her husband)

Repose en paix ma chère sœur, comme a dit lila,ce n’est qu’un au revoir.
Tu resteras saumon coeur jusqu’au jour où nous nous rencontrerons au paradis inchallah.

Karima Mehiaoui

Professeure à l’Université Lyon 1, responsable du master IA et de l’équipe SYCOSMA du LIRIS, c’était une femme de grande volonté et de conviction, très visible sur ses thématiques scientifiques en IA multi-agents et inlassable travailleuse. Salima a aussi fait beaucoup pour les questions d’égalité femmes/hommes, un sujet qui lui tenait à coeur. Au-delà de ses activités scientifiques, sa voix qui ne laissait pas indifférent (et qui résonne encore en pensant à elle), sa personnalité et sa présence vont nous manquer. 
Repose en paix Salima.

Jean Marc Petit

Chère Salima, nos chemins se sont croisés et j’ai eu la chance de partager de beaux moments avec toi. Je garde en tête ta bienveillance, ton intelligence, ta conversation intéressante, ton engagement. J’aurais aimé d’avantage pouvoir partager des jours heureux mais voilà que ton âme doit partir à des meilleurs endroits. Qu’elle vole en paix et libre. Nous gardons une place pour les souvenirs des moments partagés dans notre mémoire. Tu nous manques déjà.

Genoveva

J’étais en thèse, elle était jeune MdC. Pas du même labo, mais du même bâtiment, du même étage. On discutait au coin café en fumant une clope (oui, à l’époque on fumait en intérieur), en parlant de nos travaux, de nos vies. On c’est moins vu ces dernières années, mais tu es dans ma mémoire.

Yannick Perret

Chère Amie, Chère Salima, je ne sais par où commencer tellement ta disparition me dévaste … Tellement ton départ vers certainement un monde meilleur, dans le silence paisiblement, te ressemble. Un départ, une volonté de la divinité que nous ne pouvons rouspéter mais difficilement accepter sans douleur. Je m’obstine à regarder nos derniers messages où j’admirais ta force, ta positivité et volonté de te battre … à remémorer les moments et photos partagées notamment à notre rendez-vous annuel pour une conférence qui nous réunie plutôt en famille, en bande de copains et non de simples collègues. Salima, tu m’as marquée en arrivant dans ma vie comme une étoile, une star qui m’impressionnais, puis en étoile du Berger toujours à l’écoute et disponible même tard les soirs, et là tu pars comme une étoile filante beaucoup trop tôt … Chère amie, la douleur est immense, tu ne m’as pas laissée le temps de me retourner et j’attendais que tu ailles mieux pour te voir … Tu me manques et manque à mon fiston qui a partagé beaucoup de nos moments de retrouvailles. Reposes en paix mon amie et que Dieu t’accorde sa clémence et sa miséricorde.

Chirine Ghedira Guegan

C’est avec une immense tristesse que j’ai appris la disparition de Salima. C’était une chercheuse extrêmement dynamique avec une attitude positive et constructive. C’était toujours un plaisir de la croiser au laboratoire. Je me rappelle son sourire et je trouve sa disparition extrêmement brutale. Toutes mes condoléances à ses proches.

Sonia BEN MOKHTAR (collègue de Salima au laboratoire LIRIS)

J’ai peu connu Salima, un peu à travers le master dont elle s’occupait avec sérieux et rigueur.
Dans le sillon que chacune et chacun de nous laisse sur ce monde, elle aura laissé le sien sur les chemin du bien et du savoir.
Qu’elle soit accueillie “la haut”, là où vont les flammes soufflées par le vent.

Alexandre Saidi

Nos chemins professionels se sont croisés à plusieurs reprises: il y a 6 ans durant mon stage de fin d’étude, il y a 3 ans durant ma thèse et il y a 1 an pour la soutenance tant attendue. Je pensais qu’ils se croiseraient encore de nombreuses fois et je m’en réjouissais. Ça a été un choc d’apprendre la disparition de Salima. Je l’appréciais beaucoup et admirais son travail et sa façon d’être. Elle restera pour moi un exemple qui guidera le reste de ma vie professionnelle.
Pensée à ses proches.

Manon P.

Salima était dans mon jury de thèse en 2007 s’en est suivi une collaboration sur plus de 10 années avec 2 docteurs et plusieurs masters à la clé. C’était toujours sérieux plaisant et très particulier de travailler avec elle et son équipe. Je suis sincèrement encore touché par sa disparition, la vie est ainsi faite paix à ton âme et tous tes étudiants collègues ne t’oublieront sans doute jamais.

Mansour Saber

Je me souviens de la bienveillance de Salima lorsque, en thèse, j’ai présenté pour la première fois mes travaux lors d’un séminaire SysCoMAS en 2003. Je retiens la chaleur de l’accueil réservé à l’ensemble de la communauté SMA en 2009 lorsqu’elle a organisé les JF à Lyon. J’ai eu la chance de l’accompagner dans l’organisation des JFSMA en 2013 à Lille quand elle a endossé avec compétence le rôle de présidente du CP. En 2019, ce fut un honneur pour moi qu’elle ait accepté de rapporter mon mémoire d’HdR et un plaisir de partager.

Maxime MORGE

Cela fait des années que je connais Salima (2000 ?), même si étant à Lille, je ne la voyais que durant les conférences et les jurys. Salima était super dynamique, toujours souriante et hyper active. Elle répondait toujours présente à toutes les sollicitations … évaluation de labos, jurys de thèses, conférence invitée …
Je l’avais eue par texto peu de jours avant son décès, nous avions discuté de l’avancée de sa maladie, je savais que c’était grave mais je n’osais imaginer que c’était à ce point.
Comme nous tous, je garderai d’elle un très bon souvenir, et je penserai à elle bien souvent.

Philippe MATHIEU

Je me souviens de toi Salima pour de si nombreuses occasions de générosité… J’en choisis une récente, alors que sans doute tu avais déjà commencé ton combat. J’avais diffusé sur la liste de diffusion du LIRIS un appel pour mettre en place des relations scientifiques avec les équipes de recherche en Palestine. Elle est la seule à avoir répondu, j’y ai vu une démonstration de sa capacité à la résilience vitale. Merci Salima.

Alain Mille

Un projet, un étudiant en liaison et l’espoir de poursuivre cette année notre discussion sur des données immortelles. Cela ne pourra pas se faire finalement, pas dans ce monde mais dans le suivant… je veux y croire.

Eddy

Salima, un exemple de droiture et de rigueur, et un très grand cœur. 
Par pudeur, je ne lui ai jamais dit à quel point j’appréciais son caractère et ses valeurs. J’espère qu’elle le savait. 
Repose en paix chère amie

Mahdi Zargayouna

Je suis membre de son équipe SyCoSMA depuis 2011. De Salima, je conserverai l’image d’une femme forte et généreuse. Elle possédait d’indéniables qualités de battante pour les grandes causes, comme la volonté de partager son savoir avec les étudiants et doctorants, faire avancer la science avec une forte présence dans les comités d’experts, et bien sûr favoriser l’égalité Homme/Femme au sein de nos institutions.
Dans notre monde universitaire où ces valeurs sont omniprésentes, c’était une figure clef de mon parcours. J’avais notamment été très impressionnée de la qualité de sa présentation et de la réaction enthousiaste du jury lors de son HDR en 2003. Je regrette de ne jamais lui avoir suffisamment dit. Je retiendrai d’elle aussi ses grandes qualités humaines, qu’elle parvenait à partager avec son équipe. Son départ a été trop rapide. Salima tu nous manques terriblement. Paix à ton âme.

Véronique Deslandres

Je suis membre de son équipe depuis 2015, c’est grâce à elle que je suis devenu MCF. Depuis elle m’a toujours guidé dans mon parcours et nous avons partagé plusieurs encadrements d’étudiants, projets et responsabilités comme la commission égalité F/H dans laquelle elle m’a invité. Je n’oublierai jamais la confiance qu’elle m’a accordée, sa force de travail et son dévouement. Nous essaierons de continuer au mieux tout ce qu’elle a pu initier.

Mathieu Lefort

J’ai beaucoup de souvenirs avec Salima à nos nombreuses rencontres à des jurys de thèses, à des évaluations de projets ou en conférences. Tu étais une passionnée par ton métier et par la vie aussi. Je me souviendrai toujours de notre visite des bains à Budapest…. Tu laisses un grand vide dans la communauté SMA. Je ne t’oublierai pas.

Marie-Pierre Gleizes

Chère Salima,

Les mots me manquent…
Je souhaite tout simplement témoigner de l’affection et de la reconnaissance que j’avais pour toi.
Simplement, si je suis aujourd’hui enseignant chercheur, à Montpellier, c’est bien parce que le destin m’a fait croiser ta route alors que je n’étais encore qu’un jeune étudiant de licence en informatique à Lyon. Je me souviens encore de tes cours : je n’étais parmi l’élève le plus attentif, mais je revois encore assez bien l’énergie que tu mettais à partager ton savoir. Puis vint la maîtrise, 97-98 : les choses sérieuses commençaient ! L’IA… Et alors que je n’étais toujours pas parmi les meilleurs, tu n’as pas hésité à nous encadrer, Éric et moi, pour le projet de fin d’année. Nous t’avons simplement dit que nous voulions faire de l’IA sans vraiment savoir quoi… Et c’est là que tu nous as présenté les systèmes multi-agents, et un logiciel tout nouveau, en version Alpha : StarLogo. Et carte blanche : tu as été ambitieuse pour nous, merci ! Et cette scène, lorsque tu nous as présenté le logiciel, – je nous revois encore comme si c’était hier, c’est fou – a décidé de ce que serait ma vie, car j’ai passé des soirées entières à programmer : j’étais passionné, comme rarement je l’avais été. Une sorte de révélation. Tu nous as mis une très bonne note : on avait beaucoup travaillé et tu l’as bien vu 😉 Par la suite, je t’ai annoncé mon souhait de faire un DEA, et c’est là que tu m’as dit qu’il fallait que je tente d’aller à Montpellier, car le pape des SMA s’y trouvait : Jacques. Et tu m’as dit que tu pouvais me faire une lettre de recommandations. Merci, à nouveau. J’ai encore la lettre… Et puis, tout a suivi. Refusé au DEA de Lyon, je n’avais pas le niveau de certains. Accepté à Montpellier ! Grâce à ta lettre de recommandation et la bonne note en IA ; je n’en doute pas une seconde. C’est donc bien grâce à toi que j’ai ensuite pu faire une thèse, avec Jacques en plus. À partir de là, nous nous sommes régulièrement croisés, toi et moi, lors de ces moments privilégiés que sont les conférences, les soutenances de thèse, les groupes de travail… J’ai encore en mémoire l’Australie, bien que cela fasse si longtemps. C’était toujours pour moi un plaisir de se revoir et de partager nos points de vue : nous étions très proches au niveau de ce qui nous attirait dans les SMA : l’auto-organisation ! C’est donc avec beaucoup d’enthousiasme que je t’ai proposé de faire partie du jury de mon HDR, et avec beaucoup de gentillesse que tu as accepté. Je voulais réunir les gens qui ont contribué à ce que j’étais scientifiquement. Un vrai moment de bonheur cette journée. Tu n’es malheureusement pas restée pour le dîner du soir : tu avais déjà eu du mal à caser l’aller retour dans ton agenda. Merci d’être venue. Plus tard, lorsque j’ai présidé les JFSMA, et alors que je faisais le discours de clôture, c’est toi qui as pris la parole pour proposer de nous remercier et de nous applaudir, Julien et moi. Je revois aussi très clairement cette scène. Merci encore, à nouveau. J’ai les larmes aux yeux de penser à tout ça… Septembre 2020, tu as à nouveau accepté de faire partie du jury de thèse d’un de mes doctorants, pour la dernière soutenance de Jacques. En visio, malheureusement… toujours trop occupée, Salima 😉 Je me souviens à quel point tu étais émue -nous l’étions tous- lorsque Jacques a fait son discours de fin de carrière à cette occasion. Ton humanité était toujours palpable, à chaque occasion. Je n’oublierai jamais tous ces moments. Tu nous manques. J’espère que tu reposes en paix.
Fabien

La première fois que je l’ai rencontrée, c’était pour le poste de doctorant auquel j’avais candidaté. J’étais en passe de terminer ma dernière année en école d’ingénieur et je fus surpris par la facilité et la simplicité avec laquelle j’arrivais à échanger avec elle. La confiance qu’elle m’accorda d’emblée était de celles qui pousse à s’auto-responsabiliser.  

J’accepta par la suite le poste et, malgré les inévitables difficultés qu’affronte tout doctorant, elle n’hésita pas se mettre en jeu pour chercher à comprendre mes idées et mes attentes, parfois même plus distinctement de ce que j’étais alors en mesure de concevoir. 

Au cours de ces années, j’ai appris aussi bien de ses conseils que des travaux qu’elle menait par ailleurs, bien que ceux-ci ne correspondaient pas exactement au domaine de recherche vers lequel je m’orientais. C’est seulement avec le recul des années que je mesure la profondeur des thèmes qu’elle m’a fait connaître indirectement. 

Au-delà des savoirs, je veillerai à me souvenir de sa joyeuse humanité. D’ailleurs, à la fin de notre première rencontre, elle m’indiqua quel itinéraire suivre pour visiter Lyon avant de monter dans le train du retour.  
Cela pouvait sembler naturel dans un tel contexte mais pas avec la même spontanéité ni avec le même enthousiasme.  

Merci et bon voyage à toi, où que tu sois.

André Fabbri (ancient doctorant 2011-2015)

I was very saddened and surprised to hear the news about Salima. She was part of my HDR jury and I subsequently invited her to be on the jury for one of my PhD students. Salima was a great person, not only for her research for which the multi-agent system community had great respect but as a person. I hugely appreciated Salima’s openness and friendly nature. Salima, we will all miss you. 
Julie Dugdale, Professor, University Grenoble Alpes

Bien chère Salima, en souvenir de nos papotages et rires lors de conférences ou autres réunions autour des systèmes multi-agents.  

A jamais dans ma mémoire et mon coeur.

Je t’embrasse très très fort !

Christine Ferraris

Salima, cette nouvelle me rend triste. On s’est croisé des foos.

Caroline

Salima, tu m’as accueilli dans l’équipe de Jean-Marc, disparu lui aussi et je n’oublierai pas ton enthousiasme à partager ton engagement dans la recherche dans le domaine de l’IA. J’ai beaucoup appris avec toi et j’ai apprécié ta générosité et ta solidarité avec les chercheurs et chercheuses de tous les pays, sans oublier la Palestine pour laquelle tu avais répondu présente récemment. Je découvre ici, d’autres facettes de ta personnalité et je me réjouis d’y découvrir que bien d’autres ont profité comme moi de ta vitalité. Nous ne t’oublions pas.

Alain Mille

Ca fait très longtemps que je connais Salima. Je l’ai connue au travers de la communauté SMA et je l’y rencontrais régulièrement.
J’ai de très nombreux souvenirs de Salima mais ceux qui me reviennent à l’esprit le plus sont ceux de nos journées de travail dans le cadre du projet qui s’appelait GEST. J’y appréciais nos discussions passionnées, son enthousiasme, sa culture scientifique et aussi nos échanges plus personnels.

Vincent Chevrier

J’ai appris avec consternation et tristesse la disparition de Salima. Elle était très active dans la communauté SMA, avec une énergie et une bonne humeur qui réchauffaient le cœur. Nous ne nous croisions pas si souvent, mais je garde un excellent souvenir des échanges que nous avions à chaque fois, qu’il s’agisse de discuter d’auto-organisation, de l’évolution du monde académique, ou de sujets personnels où ses qualités humaines se manifestaient pleinement.

Sébastien Picault

MA

Rabi Yerhmeha

Bon voyage mon amie .. tu m’as toujours appelée des aéroports quand on ne voyageait pas ensemble … mais cette fois-ci.. on s’est parlé longuement une semaine avant … et puis tu ne répondais plus !

Je me souviens de ce jour très chaud de juillet.. nous avions marché plus 20km en sillonnant Tokyo. On adorait cette ville toutes les deux… on adorait tout de cette ville magnifique.
Artificial Life, était le nom de la conférence à laquelle nous assistions. Cela nous changeait des conférences sur les SMA .. il y avait une incroyable effervescence à cette conférence .. et nous étions très curieuses ! Comme dans une fête de la science !
Tu y avais co-organisé un Worksop sur l’empathie.. c’était un de tes sujets proférés avec l’apprentissage developpemental .. 
On a appris beaucoup de choses sur le sujet .. c’était wow !
Chère Salima .. cela m’a pris beaucoup de temps avant de pouvoir écrire ce témoignage.. je n’arrive toujours pas à m’y faire..

Quel témoignage peut-on faire pour une amitié profonde, sincère, intellectuelle, ouverte et sans calcul. 

Cette amitié qui faisait qu’à chaque rencontre, c’était la fête.. on synchronisait nos missions et nos voyages pour passer le maximum de temps ensemble.. on se concertait pour les jury aussi .. on discutait aussi .. sans cesse !
Tu avais toujours de l’écoute et aussi des arguments … tu n’étais pas conventionnelle ..tu étais Salima ! Toujours généreuse !

J’aimais ton ouverture d’esprit, ta sincérité et ta perspicacité !
J’aurais adoré discuter avec toi de ce qui se passe aujourd’hui dans le monde de l’IA .. j’aurais tant aimé te revoir avant ce grand voyage ..tu le manques !
repose en paix mon amie.

Amal

La semaine dernière, j’ai passé devant la salle de cours à l’ENS de Lyon où Salima et moi, on avait présenté nos recherches sur l’invitation de Jean-Michael Roy dans son cours Master de Sciences Cognitives. J’ai pensé à elle et à combien sa présentation était passionnante. C’est là où je me suis encore dit qu’il fallait que l’on travaille ensemble. Aujourd’hui, je fais l’état des personnes ayant ou ayant eu une responsabilité au sein du labex ASLAN que je dirige, et je vois le nom de Salima. Demain, nous avons une réunion de comité de pilotage et je prendrai le temps où nous serions toutes et tous réuni.e.s de garder une minute de silence pour lui rendre hommage.

Kristine Lund

Salima,
Je t’ai connue lors de mes débuts dans la recherche en Systèmes Multi Agents, encadrée par ton amie Amal.
Ça a toujours été facile et passionnant de discuter avec toi ; tu étais chalereuse, tu faisais attention aux personnes, tu les écoutais vraiment en essayant de les comprendre ; tu avais ton objectif personnel, clair et ambitieux, tu avais décidé de là où tu voulais aller, mais tu savais tout aussi bien discuter avec intérêt et perspicacité des autres approches.
Alors que j’ai quitté la recherche depuis longtemps, j’avais toujours plaisir à échanger de temps en temps avec toi, et je regrette ajourd’hui qu’on ne se soit pas revu depuis longtemps.
Au revoir Salima.

Guillaume Vauvert